On désigne sous ce nom tout le village. Autrefois on ne donnait cette dénomination qu’aux maisons du meunier situées près du pont. L’autre partie du village s’appelait l’Etang parce que les maisons s’échelonnaient le long d’un étang qui existait alors.
En 1793 et 1800 habitaient là les familles Qédillac, le Fort, Hochet, Evain, Le Mée, Gillart, Collin, Frapsauce, Carric, Simon, Pichon, Doré, Chôtard.